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Voulez-vous devenir plus riche jour après jour ?

Depuis 10 ans, plus de 15 000 personnes m’ont fait confiance pour les aider à développer des revenus alternatifs. J’ai une question à vous poser, voulez-vous des revenus alternatifs ?

Oups, j’ai été viré !

Premièrement cet article va vraiment emme*** certaines personnes qui ne comprendront pas que l’on puisse être content de se faire virer. Deuxièmement, « virer » n’est pas le terme exact, il s’agirait plutôt du terme « remercié ». Quoiqu’il en soit, à partir de maintenant je ne suis plus salarié, je m’explique…

Le Mec qui Voulait Embrasser son Chef Quand ce Dernier lui a Annoncé que sa Mission se Terminait

J’ai un parcours classique d’ingénieur d’école « secondaire », c’est-à-dire pas de groupe A (Polytechnique, Centrale, Mines, etc.). J’ai obtenu mon diplôme en 2007 et j’ai commencé ma carrière à Londres. En 2008, je suis rentré en France (ici, contrairement aux pays anglo-saxons, on nous paye par rapport au diplôme que l’on a et non par rapport à ce que l’on sait faire – vous me direz que ce système est stupide et vous aurez raison, mais ça jouait en ma faveur donc j’en ai profité!).
Retour en France donc, pour les jeunes issus d’écoles informatique il n’y a presque qu’une seule voie possible : les SSII (Société de Services en Ingénierie Informatique). Là où la plupart des consultants de SSII se plaignent tout le temps, j’étais plutôt content de ma position. J’avais négocié le salaire que je voulais dès mon entrée dans l’entreprise et mes missions me plaisaient.

Comment fonctionne une SSII ? C’est simple, ce type de société embauche des consultants qu’ils placent chez des clients. Dans mon cas, j’évoluais dans des banques en salle des marchés. J’étais donc embauché par une société X qui me plaçait dans une autre société Y.

A mon retour de Londres, j’étais très satisfait par cette situation mais plus le temps passait, plus je m’ennuyais. Il manquait quelque chose. Quand je parlais à mes collègues d’entrepreneuriat, d’immobilier, de business, d’indépendance financière, ils me prenaient la plupart du temps pour un fou. Ils ne comprenaient pas pourquoi je ne me contentais pas de prendre mes 3100€ nets qui tombaient chaque mois, de manière régulière et sûre.

Fin janvier 2011, ma première mission de 30 mois dans une grande banque française s’achevait et je devais trouver une autre mission, toujours dans une banque. La motivation n’était plus là et le manager de la SSII dans laquelle je travaillais l’avait bien vu. Un client chez qui il m’avait présenté, était décidé à me prendre sur profil suite à la lecture de mon CV, mais souhaitait tout de même réaliser, pour la forme, un entretien de motivation.
Ma démotivation totale n’est pas passée inaperçue durant cette réunion 🙂

Je me suis donc fait remonter les bretelles par mon manager. Il a réussi à me convaincre une nouvelle fois que c’était « normal » de prostituer 50 heures par semaine de mon temps contre 3100€ (ce mec là était un commercial hors paire après tout).
Il m’a donc représenté, gonflé à bloc, chez un autre client (toujours une banque) et je commençais en salle des marchés quelques jours après.

Pour certains, ce type de poste peut être comme le Saint Graal : on travaille dans une grosse banque, dans un beau quartier de Paris, on côtoie des traders, des économistes et en plus on a des tickets resto et des RTT (truc de ouf !).
Mais plus le temps passait et moins j’étais épanouie dans mon open space, sous ce néon que je connaissais par cœur.

Le Coup de Pouce Grec !

Il y a de cela quelques semaines, mon boss (celui de la banque pas celui de mon « vrai » employeur) me convoquait dans son bureau avec un visage que je n’avais jamais vu chez lui.
Je lui dis « Ah, à ce point ? » et il me répondit « Je suis dégoutté, la banque doit économiser 50 millions d’Euros à cause de la crise de la dette et le management a décidé de faire du head count (terme élégant pour dire que l’on vire des mecs). Tu es le plus jeune, tu es le seul à ne pas avoir d’enfants, tu es arrivé le dernier, j’ai décidé que ce serait toi. Ce n’est pas par rapport à toi, tu es une perle, blablablabla … »

Ah ce moment là, je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé, je n’entendais plus ce qu’il disait, c’est comme ci mon esprit était au dessus de la salle, je me voyais déjà passer un mois en Guadeloupe avec ma grand-mère, développer un nouveau blog, gérer le nouvel appartement que je venais d’acquérir, etc.
Et là, d’un coup je suis retombé dans mon corps et j’ai senti que j’avais sur mon visage un sourire à faire pâlir Le Joker. Je me suis empressé de reprendre un air solennel et de lui dire que « c’était la vie ». Qu’il n’y a aucun mal entendu, je n’ai aucune rancoeur envers ce manager. Humainement, c’est un des meilleurs chefs que j’ai eu. Ce n’est pas sa boite à lui, il n’est que manager.

J’étais donc sans mission, enfin avec une mission qui se terminait le 30 novembre 2011 mais j’étais toujours salarié de la SSII.
Je ne me voyais pas pour autant reprendre une autre mission et je fis une demande de rupture conventionnelle à mon employeur. Il refusa dans un premier temps en me parlant d’une mission dans une autre salle des marchés à La Défense (qui trade sur les matières premières et notamment le gaz pour les connaisseurs ;)). Je refusais de suite et réitérais ma demande de rupture conventionnelle. Elle fût acceptée lors de cette deuxième demande, d’où l’intérêt d’être en bons termes avec son employeur. Mon manager (de ma vraie boite pour ceux qui suivent) et moi avions beaucoup de respect l’un envers l’autre.

L’avantage de la rupture conventionnelle par rapport à la démission est de pouvoir partir avec une « prime » plus le droit à des aides à la création d’entreprise.

Mais tu es Complètement Fou!

C’est sûrement la décision la plus importante de ma vie jusqu’ici et pourtant je l’ai prise en une fraction de seconde.
Pour être franc, ça a été plus dur de dire à ma mère que j’avais plaqué mon job bien payé plutôt que d’appeler mon manager pour lui demander une rupture amiable !
J’étais comme un gamin de 10 ans qui avouait une bêtise à sa mère.
Après tout, pour une maman, avoir un fils ingénieur, architecte, médecin, vétérinaire, etc., c’est le top du top. Elles se disent que leur enfant est ainsi en sécurité.

Pourtant un emploi, même bien payé n’est pas sans risque. Il y a toujours quelqu’un au dessus de nous qui peut décider de vous faire sauter d’un simple claquement de doigt. En tant qu’employé, on ne contrôle rien et c’est souvent le manque de contrôle qui empêche les gens de réussir financièrement.

Certains vont penser que j’ai fait 5 ans d’études pour rien, que c’est du gâchis. Beaucoup arrêtent d’apprendre dès qu’ils sortent de l’école ou de la fac. Ils pensent que l’apprentissage, c’est fini pour eux. Pourtant si l’on veut réussir on doit apprendre et se former tout au long de sa vie.

J’étais à un séminaire sur Internet dernièrement et j’ai vu une dame de 65 ans que j’avais déjà vu dans un séminaire sur l’immobilier. J’ai discuté avec elle afin de savoir ce qu’elle faisait dans la vie. Il s’est avéré qu’elle était investisseuse dans l’immobilier (plusieurs immeubles de rapports), elle avait d’ailleurs un projet de construction de parkings dans Marseille afin de les louer. Elle traitait également sur les marchés financiers et possédait plusieurs sites de E-commerce. Sa caractéristique ? Elle continuait d’apprendre (« malgré » ses 65 ans) et s’éclatait.
Je ne considère pas mes études comme du gâchis. Une école de commerce, d’ingénieurs ou une fac fait une seule chose pour vous : elle vous apprend à apprendre et rien d’autre.

J’ai quand même été « aidé » à sauter le pas, on va dire que mon client a fait la moitié du travail pour moi, je me suis contenté de faire l’autre moitié. Car une fiche de paie est comme une drogue. Cela faisait seulement 3 ans que je la prenais et j’étais déjà accro, elle était déjà bien ancrée dans mon cerveau. Plus le temps passait et plus les récepteurs « indépendance financière » perdaient en sensibilité. Heureusement pour moi, le client m’a enlevé la seringue des mains et j’ai pu retrouver un petit peu de lucidité.

Ok et comment tu vas faire pour manger ?

Mes amis, c’est ça qui est beau avec les revenus alternatifs, les revenus passifs et l’éducation financière. Aujourd’hui je n’ai plus besoin de ce salaire, je gagne plus à coté et je vais continuer à développer ces revenus notamment en acquerrant toujours plus d’actifs. J’ai également un fond de précaution qui peut me permettre de vivre assez longtemps si toutes ces sources se tarissaient subitement.

Robert Kiyosaki expliquait que la richesse financière d’une personne se calcule en fonction de la durée que peut tenir cette personne à partir de sa dernière fiche de paie.
Malheureusement pour beaucoup, cette durée est d’à peine un mois.

Comprenez-moi bien, je ne conseille à personne d’appeler son chef et de l’envoyer bouler dès aujourd’hui ! Mon conseil est tout autre, gardez votre emploi, il n’y a rien de mal ou de honteux à cela. Surtout si vous aimez vraiment ce que vous faites en tant que salarié. Ce n’était plus mon cas sur la fin et il s’agissait de ma situation et de mes envies personnelles. Il ne faut surtout pas tomber dans la caricature du style « tous les jobs sont nuls, vous devez à tout prix le quitter, bosser derrière un bureau c’est naze ». Ca ne voudrait rien dire, chacun d’entre nous est différent et a des aspirations différentes.

Mon conseil serait plutôt de conserver votre emploi dans un premier temps et de commencer à développer vos revenus passifs, petit à petit. C’est comme un muscle que vous allez faire travailler quotidiennement jusqu’à ce que ce muscle soit capable de supporter votre poids (vos dépenses). Cela aura pris 3 ans pour moi, vous pouvez aller beaucoup plus vite ou beaucoup moins vite, tout dépend de votre motivation.

Bon, c’est quoi le plan ?

Aujourd’hui 30 novembre 2011, en fin d’après-midi, j’ai appuyé sur le bouton « publier » afin de mettre en ligne cet article (je l’ai fait avant de partir du boulot !). A partir de maintenant je suis « officiellement », indépendant financièrement, investisseur, entrepreneur, blogueur pro, rentier, à la retraite.
Ok je n’aime pas trop les deux derniers, notamment le rentier qui est assimilé à « glandeur » ou « il a hérité d’une fortune ». « Retraité » quant à lui est assimilé au fait de ne pas forcément avoir de projet alors que j’en ai rarement autant eu !

Voici donc ce que je compte faire de tout le temps libre qui va me tomber dessus (enfin pour commencer ;)) :

  • Continuer de développer Business Attitude et aider les gens à atteindre leur indépendance financière
  • Créer un deuxième blog, début 2012, dans un domaine qui n’a rien à voir avec l’argent. Il s’agit d’un domaine très concurrentiel et qui peut rapporter beaucoup d’argent. C’est un domaine où j’ai obtenu moi-même de très bons résultats et je souhaite aider les gens à obtenir les mêmes. Ce blog sera un actif supplémentaire que j’ajouterai à mon « arsenal patrimonial». (Certains d’entre vous connaissez déjà la thématique, je vous serais reconnaissant de le garder pour vous pour le moment ;))
  • Réceptionner la maison en Guadeloupe début 2012 (février) et gérer à distance la location saisonnière
  • Gérer la location saisonnière du nouvel appartement (local commercial) dans lequel j’ai investi dernièrement
  • Créer une EURL (SARL avec un seul associé) afin de gérer mes deux blogs principaux (Business Attitude et le nouveau) et apprendre la compta…
  • Passer au moins 2 mois en dehors de France métropolitaine en 2012
  • Continuer d’apprendre et rencontrer toujours plus de monde
  • Profiter beaucoup plus de ma famille (comme par exemple aller à la pêche avec mon père un mardi à 13h32 SI J’EN AI ENVIE)
  • Je ne pourrai plus investir dans l’immobilier pour l’instant. Pour les banques je deviens un moins que rien car je n’ai plus mon CDI, j’ai déjà deux crédits immo sur le dos et je n’ai pas 3 voir 5 bilans comptables sur mon SARL 🙂 Pour autant j’ai toujours faim d’investissements immobiliers, j’en parlais encore hier avec mon banquier. Il semblerait que je pourrais être à nouveau de la partie d’ici un an si j’obtiens un très bon premier bilan 😉

Et vous, avez-vous déjà sauté le pas ? Si non, comptez-vous le faire un jour ? Qu’est-ce qui vous bloque ?

Voulez-vous devenir plus riche jour après jour ?

Depuis 10 ans, plus de 15 000 personnes m’ont fait confiance pour les aider à développer des revenus alternatifs.

J’ai une question à vous poser, voulez-vous des revenus alternatifs ?

Cédric Annicette

Cédric Annicette

Depuis 2006, je partage mon expérience sur l’investissement, l’entrepreneuriat et le développement personnel. Devenu indépendant financièrement en 2011, et millionnaire en 2014, j’organise des séminaires ayant regroupés plus de 3000 personnes. J’ai créé plusieurs formations pour accompagner les personnes débutantes ou expérimentées dans les 4 piliers d’enrichissements que sont : l’immobilier, le business internet, le business classique et la bourse. Cliquez ici pour en savoir plus sur mon parcours

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106 réflexions au sujet de “Oups, j’ai été viré !”

    • BILAN 3 ans plus tard !
      Un bilan très positif pour toi. Tu as vraiment tout compris. Un de tes secrets c’est de MULTIPLIER TES SOURCES DE REVENUS PASSIFS. J’ai le même état d’espris que toi notamment dans le domaine de l’IMMOBILIER.

      Bravo CÉDRIC

      Sébastien D.

      Répondre
      • Et 4 ans plus tard notre hôte Cédric est millionnaire et sirote des cocktails paléo au bord de sa piscine sur l’île Maurice !
        Euh…les gars il serait temps de vous bouger le c….! 🙂

        Répondre
  1. C’est vrai que le seul avantage de l’emploi est la possibilité de faire des crédits pour investir dans l’immobilier.
    Mais te connaissant je pense que tu va gagner beaucoup plus sans emploi, surtout si tu relance un nouveau blog !

    Répondre
  2. FELICITATIONS!!!

    A « primes » et « aides à la création d’entreprise », tu pourrais plutôt parler sans langue de bois « d’indemnités de licenciement » et « d’ASSEDIC. »

    Perso, ça ne me choque pas mais tu avoueras que se lancer avec 2000€ pendant 23 mois (ou l’équivalent en aides), ce n’est pas tout à fait pareil que de partir de rien.
    Je le sais car j’ai bénéficié de la même situation il y a 7 ans (même salaire à l’époque, à l’euro près!) et ça m’a bien aidé à lancer mon commerce (qui n’était pas ma première entreprise ni ma première boutique).
    Je pense que c’est important d’expliquer aux lecteurs que l’envie et la fleur au fusil ne suffisent pas 😉

    Sinon, je suis curieux maintenant de connaître ta nouvelle thématique mais surtout ta nouvelle stratégie dans l’immobilier car comme tu le dis, hors CDI ou linéarité des revenus (même avec 5 bilans, les fluctuations, ils n’aiment pas non plus…), point de salut pour nos amis (!) banquiers.

    En tout cas, bon courage pour la suite (mais je sais que tu n’en manques pas!).

    Répondre
  3. Salut Cédric !

    Habituellement la majorité des personnes te dirait : « ah, mince… tu as perdus ton job . C’est bien dommage pour toi !  »

    Mais t’ayant rencontré une fois au web2connect ( où on discutait un peu ensemble ) et surtout fidèle lecteur de ton blog depuis plusieurs années, je te dis : Félicitations !

    Tu vas pouvoir avoir plus de temps pour booster tes revenus et ton business et avoir une année 2012 et les suivantes vraiment extraordinaire en continuant comme tu le fais aujourd’hui.

    Bonne continuation

    Amicalement,

    Mikaël

    P.S : Bon courage pour l’annoncer à ta maman, c’est pas toujours façile car elles veulent toujours le meilleur pour leurs enfants… Ou du moins ce qu’elles croivent peut-être le meilleur pour nous ??

    Répondre
  4. Salut Cédric et bravo pour ta décision.

    Moi aussi je viens de laisser tomber mon travail en intérim pour me consacrer à mon activité en ligne. C’était vendredi dernier.

    On m’avait même proposé un CDI pendant ma période d’intérim mais j’ai refusé !

    Comme toi, je veux être financièrement indépendant et je crois être sur la bonne voie.

    En tout cas, tu m’as encore plus motivé grâce à ton article ! 🙂

    Daouda

    Répondre
  5. Salut Cédric,

    Une nouvelle vie commence pour toi, à mon tour de te la souhaiter pleine de succès.
    C’est ainsi l’occasion pour moi de « sortir de l’ombre ». En effet, je suis ton blog depuis environ 9 mois et …et bien oui, il a fait un petit. Dès mes premières lecture, tu as provoqué en moi le déclic vers l’indépendance financière et je finalise d’ici une semaine l’achat de mon premier appart. pour un bon rendement (En partie grâce à ton eBook).
    J’attend donc avec impatience ton nouveau blog.
    Juste un conseil de retour d’expérience (J’ai moi même été gérant d’une Société que j’ai revendue depuis) : Outre la motivation dans la création d’une entreprise, deux choses sont nécessaires pour la créer
    – Avoir une réserve de trésorerie pour vivre environ 6 mois sans attendre de revenue de celle ci.
    – Avoir un bon carnet d’adresse car le réseau de connaissances est la meilleure source de développement d’une entreprise.
    A ton succès.

    Répondre
  6. Félicitations Cédric !

    Tu vas bien réussir dans ta vie d’indépendant et d’indépendance financière, j’en suis certaine ! Mais attention, on bosse beaucoup quand même quand on est indépendant, et même après avoir atteint l’indépendance financière, surtout que sinon, on s’ennuie. Mais la différence, c’est que l’on a le choix. On n’a pas besoin de faire des choses par contrainte, par la peur de manquer les moyens pour vivre. C’est ça toute la différence. On a le choix. Si tu bosses donc, ce sera pour toi, et tu sauras que c’est ton choix. Les contraintes seront tes contraintes. Jusqu’au moment où tu reconcontreras peut-être un partenaire de vie qui cherchera peut-être à t’imposer des contraintes. D’ailleurs, attention ! Dans le jeu Cash Flow, on perd tout sa trésorerie disponible en cas de divorce… Et dans la vie, ce n’est pas moins vrai.

    Bien à toi! Je suis heureuse pour toi!

    Kate

    Répondre
  7. Pour l’histoire, quand je suis sortie de l’école, après avoir fait un diplôme de langues étrangères avec option management, j’ai voulu commencer une activité de traduction en indépendant (je suis bilingue français-anglais). Mais je n’avais pas de contacts, et sans expérience, c’était difficile de se faire confier des missions, même par des agences ! Mais j’étais convaincue que j’étais une très bonne traductrice. J’ai donc « postulé » pour un poste de salarié pour une grande agence de traduction. Ils m’ont fait passer toute une batterie de tests, que j’ai réussi avec brio. Je suis arrivée au dernier entretien. Ils devaient choisir entre 3 candidats. J’ai dit à mon ami (maintenant mon mari) : « J’ai envie d’être indépendante. Mais si je leur dis cela, ils ne vont pas m’embaucher. Par contre, ils savent maintenant que je suis une excellente traductrice. Donc, à mon avis, ils pourront devenir mon premier client pour me lancer. » Il m’a dit, « Alors, vas-y. Dis-leur que tu veux être indépendante. » Je le leur ai dit. Et ils ne m’ont pas embauché, en me disant que c’était précisément à cause de ça. Mais ils sont effectivement devenus mon premier client. Et j’ai formidablement réussi dans ce métier en tant qu’indépendant. J’ai gagné facilement 6 fois plus que j’aurais gagné en tant que salarié. J’ai pu ainsi financer tous mes investissements immobiliers jusqu’à très récemment, quand les projets sont devenus très gros.
    C’est juste mon histoire pour illustrer qu’il faut bien savoir prendre des risques calculés dans la vie, si l’on sait ce que l’on veut.

    Kate

    Répondre
  8. Je suis a la recherche d’un investisseur pour developper une chaine de superette sur la guadeloupe si cela t’interresse contact moi par mail la source d’zpprovisionnement est deja en place.

    Répondre
  9. Bravo Cédric !!
    Toi qui a déjà l’âme de chef d’entreprise, tu en as maintenant le costume… Félicitations !
    Bientôt il te faudra trouver un gestionnaire de patrimoine 😉 mais aussi un expert-comptable.
    C’est mon métier et je suis admirative devant ton audace. Je baigne dans le milieu de la création d’entreprise, mais je n’ai pas encore le déclic pour me lancer personnellement. Je vais continuer à suivre ton (tes) blog attentivement.
    Bonne chance dans cette nouvelle vie.

    Répondre
  10. Pour les crédits immo, ça peut passer sans bilan.
    Si c’est la banque qui tient les compte de ta SARL qui fait le crédit, elle connait tes chiffres avant le bilan. Suffit qu’ils soient bon et après 6-8 mois, elle te suivra les yeux fermés.

    Répondre
  11. Félicitations !! Tiens j’ai pas trop l’habitude de dire ça dans ce contexte là ^^
    Mais en l’occurrence, j’espère pouvoir être tout aussi content que toi le jour où je partirais de mon boulot…

    Et merci de confirmer une chose que je pensais depuis longtemps. Je te cite : « contrairement aux pays anglo-saxons, on nous paye par rapport au diplôme que l’on a et non par rapport à ce que l’on sait faire » Tout à fait, et malheureusement je fais face à la situation opposée par rapport à toi : DUT de formation, je fais un boulot d’ingénieur, dirige des ingénieurs mais je dois me taper un salaire faible car « tu n’es pas ingénieur tu comprends »…En tout cas, bonne continuation avec ton (tes) blogs…

    Répondre
  12. Quel courage, si tu passes par Marseille je peux t’apprendre la compta, je suis prof, lol. Sinon, j’ai hâte de voir comment tu vas gérer tout ça.

    Répondre
  13. Felicitations !!
    J’ai quitté mon boulot en rupture conventionnelle l’année derniere, depuis je suis partie en Australie, j’ai voyagé, profité, grandi aussi.
    Je suis rentrée pleine de projets, même si j’avoue que c’est plus difficile qu’il y parait (notamment parce que j’ai du rentrer chez mes parents).

    J’ai hâte de suivre tout ça ! Ca m’a redonné la pêche ^^

    Répondre
  14. Eh, Michaël, qu’est-ce que t’attends ? Commences-donc à te projeter dans autre chose. Si tu vaux mieux que ton job, planifies ta sortie dès maintenant, sans blague ! Tu n’as pas besoin de faire le saut d’un coup de façon inconsidérée, mais commence à planifier ta sortie. Car si tu pense que tu le vaux bien, alors c’est sans doute vrai. Et pas seulement pour l’Oréal.

    Kate

    Répondre
  15. Bonsoir cédric,
    Je suis certain que tu as pris la bonne décision. Comme tu m’a fait remarqué lors du séminaire, voici mon premier post.
    J’ai parlé avec la même dame que toi que j’avais déjà vu au paravent. J’ai été surpris de savoir qu’elle avait commencée à investir dans l’immobilier vers 55 ans et que maintenant elle a un gros patrimoine et que malgré tout ça elle se lance dans un nouveau projet.

    En suivant ton aventure sur ce blog, je me rends compte que tout est possible.

    Manu

    Répondre
  16. ENFIN LA LIBERTE !!!!

    Il est vrai qu’au bout d’un moment, on ne peut plus gérer son boulot et son business comme on le voudrait, donc il est bon de se concentrer sur ce que l’on aime vraiment faire et de faire un choix et c’est ce que tu as fais.
    Il faut beaucoup de courage – félicitations !!!!

    Répondre
  17. Hello Cédric, C’est bien de sauter dans l’entrepreneuriat à 100%.. mais le meilleur moment est là actuellement pour ton cas, quand on a 2 ans d’Assédic devant soi pour créer sa nouvelle activité et toute sa passion.. Mais le temps passe très vite.. beaucoup plus vite qu’en entreprise. alors vigilance ! Tiens informés tes lecteurs pour que l’on suive les rebondissements dans les bons et mauvais jours… Bien cordialement.

    Répondre
  18. Bonsoir Cédric !

    Tu es vraiment un Homme qui joint les actes à la parole, et je ne doute pas que tu vas y arriver ! Moi je suis ravi , car je pourrais te lire plus souvent, vu que tu vas bosser en plein temps sur tes blogs, et ça veut dire plus de bons plans à prendre !

    Bonne continuation !

    Hervé

    Répondre
  19. Salut Cédric,

    Félicitations! Et vraiment quand tu y penses sincèrement est-ce que tu ne le voulais pas vraiment? (même inconsciemment).
    Car, tu as tout d’un entrepreneur, donc maintenant tu vas vraiment être à ta VRAI place! Et tu vas vraiment t’éclater et faire ce qui te plait.

    Répondre
  20. Hé bien la longueur de ce post semble être proportionnelle à la motivation de ta nouvelle vie 🙂

    C’est quand même fou dans ce pays qu’un banquier aille envoyer bouler les gens qui ont des actifs, qui plus est diversifiés, lorsqu’on n’a plus de CDI.
    Alors que le CDI n’a rien d’éternel, loin de là, et encore moins que de l’immobilier qui , lui, ne risque pas de s’arrêter du jour au lendemain (enfin sauf catastrophe naturelle mais bon il y’a des assurances pour ça).

    Encore félicitations 😉

    Répondre
  21. J’ai kiffé ton article Cédric ! Franchement bravo ! Et pas mal tes objectifs à venir 🙂

    Je crois que tu peux tout faire sans soucis, t’as les compétences et tu mets les moyens à ta disposition.

    Bonne continuation pour tes business!!

    Répondre
  22. Bon courage et bonne chance dans cette nouvelle aventure !

    Tu as su prouver que avait une âme d’entrepreneur et ceci est la suite logique des évènements ! Quand on souhaite de tout coeur une chose, elle fini par arriver !

    Je croise les doigts pour toi

    Etienne

    Répondre
  23. Felicitations Cédric!

    J’ai envie de te dire : « FREE AT LEAST! »

    J’imagine que ça doit bouillonner dans ta tete avec pleins d’idées à mettre en place!

    Bon courage!

    Répondre
  24. Ah ! Bravo ! Personne ne pourra te reprocher de profiter des « aides » auxquelles tu as droit pour « rebondir » et consolider tes entreprises !
    Attention à bien prévoir en attendant les résultats de ne pas mener un train de vie un peu « enthousiaste » du fait de ta « libération inconditionnelle » !!! Je dis çà parceque j’ai un fils qui galère pour maintenir son entreprise depuis 5 ans et que pour les parents c’est « dur » quand on ne peut cont’ribuer ! (Vas voir son site, çà peut te donner une idée pour la Guadeloupe ! https://www.junglejump.fr/ )
    Je croise les doigts pour tes mois à venir, sans être vraiment inquiet, vu les résultats déjà acquis !

    Répondre
  25. @Arnaud

    Je pense qu’il est utile d’apporter une petite précision. Un banquier n’envoie pas forcément bouler un demandeur parce qu’il n’ a pas de CDI. Certes pour le banquier un CDI est rassurant puisque le licenciement est encadré par la législation et que l protection sociale est meilleure que pour un TNS. Un banquier préfèrera mille fois qu’un pret arrive à son terme (et se gaver d’intérets) que de devoir saisir un bien immobilier …

    Je me permets de te renvoyer à l’article https://businessattitude.fr/2011/11/03/combien-de-fois-echouer/ où Cédric nous indiquait ne pas avoir obtenu son financement (alors même qu’il était encore salarié en CDI !)

    Il est clair que le banquier ne va pas être enclin à accorder un pret alors que les revenus de Cedric ne vont plus être fixes alors qu’il le lui refuse avec un salaire régulier de 3100 nets. Toutefois une chose est possible lorsqu’un banquier refuse un pret s’est d’aller en voir un autre. Je prends l’exemple de mon frère, artisan, qui il y a deux ans s’est vu refusé un pret par la banque chez laquelle il a ses comptes et qui a été accepté par une autre banque. Pour la petite histoire il doit signer en début de semaine prochaine pour un nouveau bien immobilier et cette fois sa première banque ne lui a pas fait de problème !

    @Cedric

    « Et vous, avez-vous déjà sauté le pas ? Si non, comptez-vous le faire un jour ? Qu’est-ce qui vous bloque ? »

    Moi aussi je suis sur le point de devenir un TNS. Pour l’anecdote je dirai que mon cas est pire que le tien. En effet je suis FONCTIONNAIRE. Je te laisse imaginer les réactions de mon entourage ! Car même si dans les status de la fonction publique contrairement à une croyance populaire rien ne garantit la sécurité de l’emploi et que le licenciement existe il faut bien reconnaitre que dans les faits ils sont bien plus rares que dans le privé.

    Même si j’ai toujours eu au fond de moins la fibre entrepreneuriale il faut bien avouer que jsqu’ici je me suis grosso modo bien accomodé de ce statut qui alors que je n’avais jamais pris l’avion jusqu’à mes 30 ans m’a permis par exemple de faire le tour du monde avec une affectation en Polynésie et aujourd’hui en Guadeloupe.

    Mais maintenant je sais qu’il me faut franchir le pas. Ce qui me bloque c’est que chez nous la rupture conventionnelle n’existe pas. Le 17 avril 2008 a été instaurée une IDV (indemnité de départ volontaire). Comme il est préférable de partir avec quelque chose que sans rien du tout j’ai demandé à bénéficier de ce dispositif. et comme les méandres administratifs ne sont pas que des légendes ma demande n’a pas été traitée selon les modalités fixées par la loi je suis donc en pleine procédure.
    Je préfère attendre encore quelques mois et mener les recours que m’offre la loi pour essayer d’obtenir ce petit pécule qui permets quand même de se laisser quelques mois pour réussir.
    Si mes démarches n’aboutissent pas il me restera la possibilité de démissionner avec pertes et fracas et de me lancer à fond ou comme la loi l’autorise de cumuler pendant deux ans mximum une activité d’auto-entrepreneur avec le statut de fonctionnaire puis de mettre un terme à l’un ou l’autre.

    Répondre
  26. Félicitations,

    Ton objectif d’indépendance financière est atteint , ce n’est pas encore le cas pour moi mais j’y viendrait prochainement et j’avoue que sa doit faire bizarre de se retrouver « retraité » du jour au lendemain. Mais quel bonheur de se réveiller le matin avec Zéro stress ( ou presque ) et de pouvoir s’adonner a sa famille et a ses passions .

    En tout cas beau parcourt de ta part , ça m’a redonné encore plus de motivations que j’en avais déjà , aujourd’hui , je quitte mon job!! ( je plaisante )

    Cordialement
    Romain B

    Répondre
  27. Tiens, tiens, une salle des marchés gaz à la Défense… Mais on dirait bien que c’est celle où je travaille actuellement 🙂
    Tu as bien fait de refuser, l’ambiance y est aussi morose que partout ailleurs, on nous demande toujous plus de travail mais on coupe tous les avantages : formations, séminaires, augmentation, bonus…
    Je travaille aussi à quitter tout cela dès que possible !

    Répondre
  28. Salut Cedric!
    Felicitations pour pour tes nouvelles aventures!
    Je suis ton parcours immobilier en tant que fidele lectrice du blog et j’ai une question: tu dit avoir fait 5 investissements, je me souviens de l’article sur ton achat de parking, celui de ton 1er appartement du XIII, le dernier appartement acheté pour faire du saisonnier a Paris et la maison en guadeloupe, et le 5eme?? aurais je raté un article?
    Tiens moi au courant, j’essaie de comprendre les differentes étapes de ton parcours!
    J’attends ta réponse avec impatience!
    Adeline, fidele lectrice de BA

    Répondre
  29. Belle attitude positive.
    C’est le lot du privé de suivre plusieurs parcours professionnels dans sa vie.
    La réactivité de Cédric n’a rien de surprenant pour qui le lit depuis des mois.

    Bonnes affaires
    Alain

    Répondre
  30. Salut Cedric. Felicitations pour ton indépendance financiere. Comme on dit il faut avoir des cojones pour se lancer de la sorte.

    Cependant j’ai 2 bémols a apporter a ton article :
    – Je trouve que le terme « prostituer » sont temps pour du salaire est un peu dur. Je pense surtout si un jour un maçon qui peine avec un smic pour faire vivre sa famille lit ton blog, il va pas forcemment apprécier.
    – C’est bien de vivre de revenu alternatifs immobilier. Mais malheureusement le cours de l’imobilier varie comme celui de n’importe quel marché et on peut vite se retrouver avec un bien qui vaut moins cher qu’on l’a acheté. j’ai un ami qui a acheté un appartement a miami en 2006, il est dans de beaux draps maintenant.

    Sinon article intéressant

    Répondre
  31. @Roamain:
    _ Le cours de ta valeur salariale varie aussi, et on le voit bien maintenant où les « cols blancs » se font aussi jetés de leurs boîtes!
    _ En achetant sur un marché que l’on ne connaît pas, il ne faut pas ensuite s’étonner de déconvenues… si tu es informaticien et que tu vas bosser en tant que plombier, nul doute que tu cours à l’échec, de la même manière si tu es de Nantes et que tu investis à Barcelone, nul doute que certaines spécificités locales t’échappent 😉

    Répondre
  32. @Alteriche :
    – Les salaires n’évoluent pas de la même manière que l’immobilier. Les variations sont moins fortes sur les salaires. Aucun employeur viendra te voir du jour au lendemain pour te dire que ton salaire est divisé par 2. Du moins pas dans les métiers traditionnels.
    – Mon ami est americain mais mis à part ça, plein d’habitant de Miami qui connaissaient les « spécificités locales » se sont fait plumés. Imaginons que tu soit propriétaire d’un appartement à Paris et que tu sois Parisien pure souche. Si l’immobilier Parisien perd 20% en un mois, tu as beau être Parisien, tu ne pourras rien y faire.

    Cdt

    Répondre
  33. @Romain:
    Je ne suis pas d’accord: un employeur qui vient te voir pour t’annoncer que tu es viré, pour beaucoup, ça se matérialise par un salaire divisé par 2… (Assedic à hauteur de 2/3 environ, coût de recherche d’un emploi, éventuellement coût social et médical…etc).

    Mais tu as raison: les employeurs qui viendront te voir pour te dire que ton salaire est multiplié par 2 sont encore plus rares!!

    Investir, c’est aussi planifier, et donc adapter sa stratégie.
    Pour l’aspect particulier, si tu t’y intéresses un minimum, tu sais que les cycles immobiliers en France ne sont pas aussi brutaux (20% en 1 mois relève du fantasme).
    A vérifier, mais il me semble proche de nous que l’immobilier en Espagne a dégringolé mais pas à une vitesse telle que la crise des subprimes aux US. Si tu vois le mur arrivé en voiture, et qu’il est encore loin et/ou que tu roules à faible allure, tu as normalement le temps, soit de tourner le volant, soit de sauter du véhicule 😉

    Mais comme tu le dis, il y a toujours un risque. A chacun de le jauger, et de savoir s’il veut le prendre (ou pas!).

    Répondre
  34. Super Cédric ! Excellente opportunité pour toi que tu as su saisir.

    Bienvenue au club donc ! Tu vas connaître experts comptable, avocats, cipav, urssaf, complémentaires… 😀

    Dans une de mes sociétés, j’ai des graphistes qui bossent pour moi. Je leur dis en général qu’ils sont bons et qu’ils bossent bien (normal, c’est moi qui les recrute 😉 ). Donc en général, au bout d’un an ou 2, ils se disent : le logo ou le magazine que je créé en 2 jours, si je le vendais moi-même direct au client, je me mettrais 1000 euros dans la poche facilement. Il me suffit d’en faire 1 par semaine pour avoir un salaire de roi.

    Il posent donc une rupture conventionnelle et se lancent. Très heureux de travailler (enfin) POUR EUX ! Sauf que TOUS ont déchanté et son revenus à bosser en agence, ont changé de voie ou galèrent comme des fous. Ils n’avaient pas compris qu’en bossant dans ma boîte, il bossaient déjà POUR EUX :

    Ce sont des techniciens. Qu’ils vendent leur temps à un patron ou à un client, le principe est le même. Sauf que de son propre patron, on a plus d’emmerdes et donc moins de temps pour bosser pour les clients (administratif, commercial…).

    Ce n’est pas destiné à ton cas a priori Cédric, mais je pense qu’il faut bien réfléchir son projet avant de « démissionner », même si effectivement en touchant des aides, il n’y a pas grand risques sur le court terme. Travailler POUR SOI n’est à mon avis la démarche ultime, je suis convaincu que bon nombre de salariés dans les PME travaillent déjà « pour eux » sans s’en rendre compte.

    Il faut penser dès le départ à créer un système qui travaillera ou pourra travailler pour nous plus tard (principe du revenu passif).

    Répondre
  35. C’est Fantastique ce qui t’arrive !

    J’ai déjà connu ça quand le groupe Europe 1 m’a viré de ma Radio locale parce que l’une de ses filiales venait de la racheter.

    Je me suis dis super ! Je suis parti avec un petit pactole de 10 mois de salaire… En ait, j’avais gagné car ils voulaient me faire craquer et que je parte de moi-même, ça leur évitait le pactole à donner…

    Pas de bol. J’ai été le plus fort ! 😉

    Je suis d’accord avec toi à 200 %.

    Là, je suis fonctionnaire, mais j’en ai ma claque. Vivement une nouvelle page 🙂

    Amicalement,

    Sam

    Répondre
  36. Pour avoir mis les pieds quelques fois dans les sièges des banques, je reconnais bien en effet l’apparence prestigieuse de ces lieux, hall d’entrée en marbre, hôtesses impeccablement maquillées, portillons automatiques, etc. Mais aussi l’aspect aseptisé (les néons), un peu comme dans le film Gattaca, et j’adhère tout à fait à l’idée qu’on s’en lasse.

    De toutes façons, ma conviction, c’est que le métier qui te rapporte le plus, c’est celui qui te plaît… je crois sincèrement que tu ne tarderas pas à rattraper et dépasser le salaire abandonné.

    Bon courage!

    Répondre
  37. Juste un petit mot pour te « réconcilier » avec le terme RETRAITE que tu évoques dans ton article :

    la RETRAITE, ce n’est pas une question d’âge….. c’est une question de MOYENS.

    Bon vent, jeune homme ! et que le succès ne te quitte jamais.

    Répondre
  38. Tu continues ton aventure entrepreneuriale en toute indépendance maintenant alors 🙂
    Félicitation pour oser y aller à fond (même si tu as bien minimisé les risques finalement grâce à tes revenus alternatifs).

    Répondre
  39. @Alterriche

    « Pour l’aspect particulier, si tu t’y intéresses un minimum, tu sais que les cycles immobiliers en France ne sont pas aussi brutaux (20% en 1 mois relève du fantasme). »

    C’est un peu plus compliqué que cela.

    Les moyennes annoncés (notaires, agences, fnaim) ne reflètent pas nécessairement la réalité de tous les biens.

    La difficulté est d’intégrer, parfois, qu’un bien qui se vendait en 2007, ne se vend plus du tout en 2011, si annoncé au prix moyen du marché.

    Or sans vente, la perte de valeur du bien n’est pas, en France, considérée. On l’ignore, tout simplement. De sorte que si un marché, fût-il de niche, se retracte en volume, mais conserve des opérations ponctuelles au prix affiché par les moyennes, on annonce que ce marché se maintient.

    Si on regarde dans le détail, on trouve des types de bien dont la valeur est, objectivement, en chute libre. Mais comme ils n’intéressent que peu de monde, donc ne se vendent pas bien, ca n’entre pas dans les statistiques.

    Par exemple, des biens en chute de plus de 20% depuis cet été (ok, ca fait 4 mois, et non 1 mois), j’en ai 6 dans le colimateur.

    Répondre
  40. @Xa:
    Je trouve ton analyse très pertinente et je la partage.

    Toutefois, j’y intégrerais quelques bémols:
    _ En 2007, tout et n’importe quoi se vendait. Si ça ne se vend pas en 2011, il y a forcément une raison.
    Le prix vas-tu me dire! Mais pas seulement: les acheteurs ne veulent peut-être plus tout court acheter un souplex (joli terme pour dire qu’on dort dans une cave) ou un appart dans un quartier trop populaire, et ce, même à vil prix.
    _ Bien sûr le prix reste un élément. Si ça ne part qu’à un certain prix, je parlerais de bien surévalués mais pas forcément d’un marché surévalué dans son ensemble.
    Derrière la sémantique, je persiste à croire que l’écart de prix va se creuser: certains biens vont continuer de monter (plus de flamber, faut pas non plus déconner!), d’autres en revanche vont sérieusement baisser. Par conséquent le marché baissera mais seulement grâce à sa moyenne!
    _ Tu as toi-même l’honnêteté de dire que ta veille dure depuis 4 mois, et au final la transaction se fera peut-être qu’au bout de 6 mois.
    Par ricochet, le marché (on boucle la boucle) aura mis 6 mois à baisser et non 1!
    Si je te rejoins sur ton analyse, on peut tout de même dire que le terme de marché baissier dans ce cas précis ne sera intervenu que 6 mois plus tard. Donc pour qu’une tendance lourde s’installe (les vendeurs sûrs que ça baisse donc vende de peur que ça ne baisse encore plus), il faut du temps en immobilier.
    Au final on aura bien créé un cercle vicieux de baisse (ou vertueux, tout dépend où l’on se place!) mais certainement pas dans un délai catastrophique comme j’ai pu le lire!
    _ Dernier point: avant d’être ruiné, il faut remplir un certain nombre de conditions, notamment celle d’avoir acheté le bien au plus haut et de le vendre au plus bas.
    Un acheteur ayant acheté il y a 3 ans par exemple avec +10%/ an et devant vendre face à une baisse subite de 20% par exemple… aura encore un bénéfice de 6,5%! Même si j’en conviens il est difficile de savoir si on vraiment à la crête de cette courbe ou s’il s’agit d’un simple essoufflement comme début 2010 de mémoire.
    Par ailleurs, il reste tout à fait possible d’améliorer la valeur du bien (home-stagging, travaux), voire de le louer (si tant est que les loyers ne s’effondrent pas mais ceux-ci n’ont pas explosé aussi vite que la valeur de transaction + l’offre locative trop faible par rapport à la demande), éventuellement de refinancer le bien (allonger le crédit pour diminuer les mensualités).

    J’essaye surtout de ne pas être borné dans mes raisonnements et analyses, de ne pas ni trop être optimiste ni pessimiste (ce qui ne veut pas forcément dire réaliste!) mais de m’efforcer d’être clairvoyant.
    Je pars toute façon du principe que la marge se fait davantage à l’achat qu’à la revente!

    Répondre
  41. Félicitations,
    créer des revenus alternatifs supérieurs à son revenu « principal » en seulement 2 ans c’est vraiment bien.
    Bonne chance pour la suite.
    Et bien venu au club.

    Répondre
  42. @alterriche

    « Si ça ne part qu’à un certain prix, je parlerais de bien surévalués mais pas forcément d’un marché surévalué dans son ensemble. »

    Je raisonne à l’inverse : un marché qui voit le nombre de transaction chuter fortement est un marché globalement surévalué, dont une partie seulement (les biens qui se vendent réellement) est « au prix ».

    « Par ricochet, le marché (on boucle la boucle) aura mis 6 mois à baisser et non 1! »

    Encore une fois, je disconviens. On n’analyse pas un marché a posteriori, en tout cas pas avec autant de retard.

    Or justement, les statistiques des notaires sont à retardement : elles se basent sur les ventes d’il y a 6 mois, et uniquement sur les opérations réelles, et non sur le carnet de vente.

    En l’occurence, sur mon marché, ca fait plus de 12 mois que je constate la baisse, non pas via les seules ventes réelles (la donnée des notaires et des agences), mais bien en tracant les mises en vente.
    Et encore, le marché local bénéficie d’un soutien fort, du fait de l’effet change.

    « Dernier point: avant d’être ruiné, il faut remplir un certain nombre de conditions, notamment celle d’avoir acheté le bien au plus haut et de le vendre au plus bas. »

    Je suis d’accord, en tout cas pour la France où l’on n’utilise pas la valeur des immeubles comme gage pour financer son train de vie.

    « Je pars toute façon du principe que la marge se fait davantage à l’achat qu’à la revente! »

    Pas faux, mais pas entièrement d’accord non plus. J’achète toujours en fonction d’un projet précis, sans forcément tirer au maximum les prix à l’achat, l’essentiel étant, si les données du projet sont réunies, de ne pas rater l’affaire 🙂

    Répondre
  43. @Xa:

    « Je raisonne à l’inverse : un marché qui voit le nombre de transaction chuter fortement est un marché globalement surévalué, dont une partie seulement (les biens qui se vendent réellement) est « au prix »  »
    Tout en subtilité! Je pense qu’on dit la même chose de manières différentes 😉

    « Or justement, les statistiques des notaires sont à retardement : elles se basent sur les ventes d’il y a 6 mois, et uniquement sur les opérations réelles, et non sur le carnet de vente »
    Certes il y a une latence mais je ne suis pas d’accord sur la seconde partie.
    Mon activité principale, c’est opticien. Si j’établis mon panier moyen, je le fais sur la base des lunettes que j’ai vendu, pas sur le prix moyen de celles que j’ai en stock (qui peuvent tout simplement ne pas correspondre à la demande du consommateur et donc pour schématiser être « hors marché »).

    Ce que je voulais surtout mettre en avant, c’est qu’il me paraît ubuesque de penser qu’en France on peut demain matin en l’espace d’un rien de temps se retrouver avec un appartement qui ne vaudrait plus que la moitié de la veille!
    Une action en Bourse peut dévisser très vite (et encore les spécialistes m’arrêteront, je n’y connais rien, je crois qu’il y a des « garde-fous »?) mais la courbe de l’immobilier ne suit pas du tout la même sinusoïde (beaucoup plus d’inertie).

    Répondre
  44. @Xa:

    « Je raisonne à l’inverse : un marché qui voit le nombre de transaction chuter fortement est un marché globalement surévalué, dont une partie seulement (les biens qui se vendent réellement) est « au prix »  »
    Tout en subtilité! Je pense qu’on dit la même chose de manières différentes 😉

    « Or justement, les statistiques des notaires sont à retardement : elles se basent sur les ventes d’il y a 6 mois, et uniquement sur les opérations réelles, et non sur le carnet de vente »
    Certes il y a une latence mais je ne suis pas d’accord sur la seconde partie.
    Mon activité principale, c’est opticien. Si j’établis mon panier moyen, je le fais sur la base des lunettes que j’ai vendu, pas sur le prix moyen de celles que j’ai en stock (qui peuvent tout simplement ne pas correspondre à la demande du consommateur et donc pour schématiser être « hors marché »).

    Ce que je voulais surtout mettre en avant, c’est qu’il me paraît ubuesque de penser qu’en France on peut demain matin en l’espace d’un rien de temps se retrouver avec un appartement qui ne vaudrait plus que la moitié de la veille!
    Une action en Bourse peut dévisser très vite (et encore les spécialistes m’arrêteront, je n’y connais rien, je crois qu’il y a des « garde-fous »?) mais la courbe de l’immobilier ne suit pas du tout la même sinusoïde (beaucoup plus d’inertie).

    Répondre
  45. « Mon activité principale, c’est opticien. Si j’établis mon panier moyen, je le fais sur la base des lunettes que j’ai vendu, pas sur le prix moyen de celles que j’ai en stock (qui peuvent tout simplement ne pas correspondre à la demande du consommateur et donc pour schématiser être « hors marché »). »

    Argh, on ne va pas s’entendre. Ca fait deux fois que le mien doit faire refaire mes lunettes, pour un défaut de verre …

    Vous aurez compris que mon activité principale n’est pas, bien sûr, l’optique 🙂

    Pour filer votre métaphore, iriez-vous considérer que vos montures basiques et sans fioriture ont comme prix de base moyen le prix constaté sur les seules montures de luxe que vous vendez ?

    Je ne pense pas. Or c’est exactement ce que le commun des mortels fait en regardant le marché immobilier sur la seule base des biens qui se sont vendus.

    J’ai un ami notaire qui l’exprime fort bien : au début des années 90, les notaires ont constaté la chute vertigineuse du volume des transactions près d’un an avant qu’on n’en annonce les effets publiquement (ie : lorsque le prix du mètre à commencer à chuter lui aussi).

    Loin de moi l’idée de dire qu’on est en plein krach immobilier. Mais la situation réelle du marché est moins rose que les annonces publiques (qui je le rappelle sont avant tout écrites par des personnes qui ont intérêt à ce que le marché vive, puisque c’est l’essentiel de leurs revenus) le laissent penser.

    Répondre
  46. Salut Cedric,

    Je ne suis pas inquiet pour toi. T’ayant rencontré et bien que très jeune, tu m’a étonné par ta maturité et tes qualités.

    Comme tu le sais moi aussi j’ai quitté une grosse boite avec un poste clef qui était pour moi une prison dorée. J’ai pris des risques, j’en prends encore, l’immobilier d’entreprise en Investissement ce n’est pas facile tous les jours surtout en tant que Broker mais je suis heureux et Je vis. Enfin.

    J’ai beaucoup appris sur moi et sur les autres. Je continue à apprendre malgré mes 25 ans d’expérience et mon parcours. Aujourd’hui je monte des projets, j’invente, j’innove. Mon prochain objectif c’est d’Investir pour moi. C’est pour bientôt. Restons en contact et si je peux t’aider.

    Tu as compris le seul secret qu’il faut connaitre dans la vie. Se bouger les fesses !

    Je te souhaite beaucoup de bonheur dans ta nouvelle vie. Qu’elle soit riche, heureuse, et pleine de rebondissement et surtout très loin des cons !

    Amitiés

    François (Alias Jupiter)

    Répondre
  47. Tres joli courage.

    A mon avis pour en avoir discuter dans ma boite, on est plein de personnes comme toi qui en avons marre de notre boulot mais beaucoup ne font rien du tout. Ils se plaignent, c est tout !

    Ou sinon, ils cachent leur jeu : vivons cachés, vivons heureux !!

    Je te soutiens a 100 %.

    Moi je n ai pas (encore) ton courage de tout plaquer et partir…

    Ton blog me donne l envie de reussir, mais qu est ce qu il fera le déclic ….

    J ai deja créer des revenus alternatifs d ailleurs un peu comme toi…

    Cela dit, meme si je lis souvent ton blog, je me souviens pas de ton age, et de tous tes investissements (appart, blog…)

    (tu n es pas obligé de tout dire bien sur ;-))

    Es tu marié ? des enfants ? peut etre est ce aussi plus simple qd on est celibataire sans enfant… (OK, je sors, je me cherche encore des excuses

    Bon courage

    Répondre
  48. Bravo Cédric, je me souviens vers juin 2010 je te disais « c’est maintenant qu’il faut te lancer après ça sera trop tard ! », tu as gardé la tête froide et tu as bien avancé sur tous les fronts, ce que j’admire beaucoup.

    Je te souhaite beaucoup de succès pour cette nouvelle aventure !

    Aurélien

    Répondre
  49. Une autre option est faire exactement la même chose que ce que tu faisais avant mais en freelance.

    Vu ton domaine de compétence, tu pourras te facturer 500-600 € HT / jour en sous-traitance de SSII auxquels s’ajouteront + tes revenus passifs.

    Effectivement, salarié dans une SSII n’est pas la meilleure voix pour la richesse. On paye assez cher (salaire faible par rapport à ce que l’on rapporte à la SSII) le fait d’avoir une sécurité de l’emploi très relative.

    Répondre
  50. Bravo Cédric d’avoir sauté le pas. Même situ as été « aidé » la décision ne dépendait que de toi …et tu as eu le courage de le faire.

    Te voila prêt à voler de tes propres ailes 🙂

    Je pense que nous serons nombreux à suivre ton parcours.

    Répondre
  51. Félicitation Cédric,
    Il faut savoir profiter des opportunités que la vie nous présente!
    Je suis sûr que tu vas pas regretter ton choix!
    Apprendre en permanence est primordial…

    Répondre
  52. Je pense que la façon dont tu argumentes pour justifier ta décision dénote une réflexion poussée et un choix légitime. J’ai pris le même genre de décision il y a 6 mois, et pour le moment, je voyage autour du monde. Profites-en bien.

    Répondre
  53. SAlut Cédric

    bravo pour ton article, moi je trouve ca bien.
    jaimerais te demander un conseil mais hors du blog, en privé. A quel mail puis je le faire si possible ?
    Merci
    David

    Répondre
  54. Bonsoir Cédric,

    Le nombre et la teneur des interventions est le meilleur témoin du fantasme que provoque la réalisation d’indépendance; les commentaires dissuasifs ou anxiogènes nous montrent que notre société formate la majorité à appartenir à la « rat race »: on y trouve de l’angoisse, des peurs, des encouragements… bref tout ce dont chacun tire de ses expériences personnelles ou de ses croyances souvent limitatives propres à chacun…
    Il se trouve que je suis dans une situation singulièrement parallèle (acquisitions de biens immobiliers -parkings et appartements- et phase de séparation avec ma boite), et au lieu de d’angoisser et de craindre pour mon avenir, je visualise les opportunités et le tremplin pour réaliser un désir ardent, celui de devenir entrepreneur: je savais que j’y viendrai, mais le temps s’est accéléré ! Etant parti de rien, chaque action accomplie dans ma vie n’a fait que me prouver que mes choix étaient les bons, et si j’avais écouté les autres , je n’aurais jamais rien fait, et je l’aurais regretté.
    L’action et la réalisation n’apporte que des bénéfices quelque soient la nature des premiers résultats (je n’ai rien à t’apprendre à ce sujet) ; une réussite conforte et tire vers le haut, un échec enseigne, apprend et permet de s’améliorer (mais là c’est une question de tempérament, de caractère et de confiance en soi…).

    Cédric, tu réussiras j’en suis sûre, et ce malgré les épreuves qui attendent chaque entrepreneur…
    Bonne route, je serais ravi d’échanger avec toi.
    « Stay Hungry.Stay Foolish » S.Jobs
    W.

    Répondre
  55. Cedric, que te dire déja merci pour le créolisme « Mes amis…. » ensuite comme je te le dis depuis le debut de ton aventure, tes salaires ton permis de faire la premiere etat avoir un patrimoine non-financier pour te défendre et ne pas mourir de froid en cas de souci. Le capital immo. que tu as t’affranchi de penser à la lointaine retraite car il y aura toujours des SDF salarié ou entrepreneur dans 20 ans. A ton age c’est une opportunité enorme que tu te sois fait viré en rupture.

    Bilan:
    – Du fric pour noel
    – 18 ou plus d’Assedic plafonné à 75% en periode de crise à venir (2012)
    – Des postes d’independant dans ton domaine (la carte de visite BN..C…B vaut de l’or à Londre et ailleurs) qui te permettrons de gagner le meme salaire par semaine. J’avais moi choisi de ne plus travailler que 4 mois par année à l’époque et en plus après mes fin de droit mais y a plein d’autre avatange que je ne peux pas évoqué publiquement.
    – 3 ans de bilan tu t’en fiche pour faire un credit car tu peux tenté ta chance à être riche sans prendre de risque.

    Personnellement, je ne fais plus de credit immobilier je depose la valise ou le cheque sur la table. Salarié c’est bien à 100k€+voiture de fonction+job visible plus bas ça n’a aucun interet pour un jeune déja propriétaire.

    Bref ça va être le pied.

    PS : N’oublie pas de bien choisir la ou tu t’inscrit à pole emploi (pas trop loin d’un aeroport ryanair par exemple)

    Répondre
  56. Félicitations,

    Nombre d’internautes se reconnaissent dans ta démarche mais finalement trés peu auraient le courage de sauter le pas. En tout cas tu ne prends pas grand risque car tu pourras toujours redevenir salarié mais l’inverse est deja plus difficile.

    En tout je suis depuis un moment ton blog et il aurait été interessant egalement de developper l’ investissement immobilier à l’étranger car je pense que de nombreux pays africains vont commencer à connaitre un vrai boom dans leur developpement et il est interessant de se positionner dès à présent sur ces marchés trés porteur et trés accessibles pour le moment.

    Bravo en tout cas.

    Répondre
  57. J’ai une sainte horreur de ceux qui tournent la situation dans le sens qui les arrange au lieu d’être transparent.

    C’est quoi ce titre de chapitre « Ok et comment tu vas faire pour manger ? »

    Le but est visiblement de faire style tu as tout lacher pour te consacrer a ton activité indépendante…sans filet. Or la vérité est tout autre. Comme l’ont dit quelques commentaires, je suppose que tu vas chopper les ASSEDICS pendant 2 ans a 70% des 3100 euros, outre la prime de départ. Alors la petite mention « comment faire pour manger » est quelque peu mensongère.

    Attention, qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit. Je trouve ce que tu as fait une bonne décision, d’ailleurs je l’ai fait moi-même il y a quelques années, le chômage pour se lancer dans un projet est une excellente idée 😉

    Mais je trouve que cela serait plus intéressant et utile pour les lecteurs de tourner l’article sur « comment j’ai fait pour chopper les assedics pendant 2 ans pour développer mon business » plutôt que « j’ai posé ma démission pour pouvoir développer mon business sans filet, je suis trop un ouf ».

    Cela serait plus honnête et surtout plus utile pour les gens qui veulent faire pareil.

    As-tu conscience qu’éventuellement tu pourrais mettre de mauvaises idées dans la tête des gens qui vont prendre ce que tu dis au pied de la lettre sans être au courant de quelques subtilités ne figurant pas dans l’article? J’apprécie le blog (d’ailleurs j’ai même acheté l’ebook immo, très bon) mais faut quand même faire gaffe a ce que tu racontes.

    Au passage il me semble que dans le cadre de création d’entreprise tu peux demander a avoir tout ton chomdu d’un coup non? A vérifier, cela pourrait être utile pour tes investissements 😉

    Répondre
    • Merci à tous pour vos commentaires 🙂

      @Willy : Si je touche les assedics (rien n’est fait pour le moment) c’est du bonus.
      J’ai bien dis BONUS. Cela fait 3 ans que je développe mes revenus alternatifs. Aujourd’hui ils dépassent largement mon ancien salaire et me suffisent pour vivre. Ce que me verserait le pôle emploi serait un plus. Je ne les ai pas compté dans mes revenus…
      Ensuite si tu lis bien l’article, tu verras que je dis qu’il n y a rien de mal à avoir un job et que je déconseille de tout plaquer sur un coup de tête.
      Mais j’ai bien compris que ma situation énervent certains 🙂

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  58. Cela ne m’énerve pas moi en tout cas puisque j’ai fait exactement la même chose il y a des années comme dit juste avant 😉

    Peut-être j’ai mal perçu l’article, mais dans mon esprit il sonne comme si tu voulais montrer que tu t’es auto-viré sans trop réfléchir alors qu’en fait il y a quand même un sacré matelas de sécurité derrière au cas où. Et un bonus de 45KE (a la louche 70% de 3100 euros X 23 mois) c’est pas dégeux, surtout si tu arrives a tout chopper d’un coup dans le cadre de création d’entreprise, je crois que c’est possible 🙂

    Je ne suis visiblement pas le seul a l’avoir perçu ainsi d’apres certains commentaires. Mais je ne critiques pas, j’ai fait exactement la même chose quand j’ai senti qu’il était plus intéressant d’arrêter de bosser pour se lancer dans un autre domaine.

    Tu devrais rajouter dans ta conclu une partie pour indiquer qu’il est possible de s’autovirer a l’amiable pour bénéficier des assedics et continuer a développer ses revenus passifs en full time. Je connais plusieurs plusieurs personnes qui ont fait cela avec succès. Ca evite d’attendre le jour ou les revenus complémentaires deviennent plus important que le salaire. Tu seras surement d’accord sur le fait qu’il vaut mieux travailler full time sur son projet le plus tôt possible a partir du moment ou le business est validé (comprendre les sous commencent déjà a tomber = l’idée est bonne et vaut la peine de s’y consacrer entierement).

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  59. Bientôt SDF ! ahahah !
    J’espère que tu continues de cotiser pour la retraite et surtout la santé !
    Ahahaah !!!
    Des mecs comme toi j’en cotoie tous les jours au resto du coeur. Des super diplomés qui un jour se sont cru supérieur à tout le monde.
    La descente n’est que plus rapide.

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  60. Parfois,prendre une telle decision importante peut paraitre un peu fou aux des ses proches mais il faut s’armer de determination pour arriver aux aux resultats satisfaisants,Je Compte aussi quitter mon boulot non Je compte virer mon Patron car je travaille comme agent de caisse dans une banque commerciale .je vais passer mon temps a bloguer au lieu de perdre du temps derrière un comptoir.
    Merci Cedric pour cet article

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  61. Salut Cédric,

    Je découvre ton entrée dans la vrai vie active 😉
    J’aime beaucoup l’assimilation de la fiche de paie à une drogue.
    Personnellement, je n’en veux plus et je suis fier d’être en phase de sevrage.

    Toutefois, je ne pense pas attendre que mes revenus passifs supportent mes dépenses pour plaquer mon dealer 🙂

    Ce qui me frappe, c’est ta confiance en l’avenir, tu sembles n’éprouver aucune peur si ce n’est la réaction de ta mère.
    Bravo et je te souhaite plein de succès.

    Olivier

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  62. J’ai vécu la même chose que toi avant de me mettre à mon compte, sauf que c’est moi qui ai poussé à la rupture de contrat contre l’avis de mon employeur. C’est un moment à la fois effrayant et tellement bon !

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  63. J’avais manqué cet article! Je pensais que ca faisait bien plus longtemps que cela que tu étais à ton compte. Es-tu déjà indépendant financièrement sans l’aide des allocations chomage etc. ?

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  64. En effet, un parcours plutôt atypique.
    Je suis moi même en société de service (anciennement alten) et la nouvelle est X (que je citerais plus tard).
    Je ne gagne pas autant que toi, d’ailleurs c’est plutôt surprenant d’avoir 46k€ en sortie d’école?

    Je ne conteste pas car je sors d’un master, c’est différent mais en tout cas bravo pour le chemin que tu as déjà parcouru!

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  65. Bravo pour le chemin parcouru. Je me suis également envolée pour Londres en janvier 2008 et suis revenue en France en février 2009 (merci la crise) ; Je ris « jaune » car, tu n’as pas perdu ton temps apparemment 🙂
    Je vais suivre ton blog très attentivement j’ai deja remarqué de bons conseils à suivre. Et le témoignage de MELISSA m’a boostée aussi.

    Bonne continuation 🙂

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  66. Bonjour
    Très intéressant tous ça j ai moi même le projet de créer une société en Guadeloupe
    J ai aussi acheté un appartement qui est en location
    Mais j arrive pas a franchir le pas niveau de mon cdi

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  67. Excellent article sur aller à la poursuite de ses rêves! Ce que j’adore le plus est la liste des choses à accomplir, car on dirait que tout a été accomplie alors bravo!

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  68. « commencer à développer vos revenus passifs, petit à petit. C’est comme un muscle que vous allez faire travailler quotidiennement jusqu’à ce que ce muscle soit capable de supporter votre poids (vos dépenses) »

    Salut Cedric,

    Je trouve ta phrase pleine de sagesse, c’est des choses qu’on devrais voir plus souvent lors des réunion d’entrepreneurs !

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  69. Super article oui!!
    en revanche je suis larguée même 4 ans plus tard: quel est ce « nouveau » blog ?? allez maintenant je peux savoir diiiis 🙂

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